Avertissements:
Tout ce que vous devez savoir sur les différentes barrières de la communication. Il existe de nombreuses barrières de communication qui ont tendance à déformer les messages qui passent entre l’émetteur et le récepteur. Elles entraînent des malentendus et des conflits entre les membres de l’organisation.
Les managers citent fréquemment que la rupture de communication est l’un de leurs problèmes les plus importants. Cependant, les problèmes de communication sont souvent des symptômes de problèmes plus profondément enracinés. Par exemple, une mauvaise planification peut être à l’origine d’une incertitude quant à l’orientation de l’entreprise.
De même, une structure organisationnelle mal conçue peut ne pas communiquer clairement les relations organisationnelles. Des normes de performance vagues peuvent laisser les managers dans l’incertitude quant à ce que l’on attend d’eux.
ADVERTISSEMENTS:
Ainsi, le manager perspicace cherchera les causes des problèmes de communication au lieu de se contenter de traiter les symptômes. Les barrières peuvent exister chez l’émetteur, dans la transmission du message, chez le récepteur ou dans le feedback.
Les différentes barrières de la communication sont :-
1. Les barrières sémantiques 2. Les barrières psychologiques 3. Barrières organisationnelles 4. Barrières personnelles 5. Barrières mécaniques 6. Barrières liées au statut
7. barrières perceptuelles 8. Filtrage de l’information 9. La spécialisation 10. Pression du temps 11. Hypothèse non clarifiée 12. Inattention.
Quels sont les différents obstacles à la communication : Barrières sémantiques, barrières psychologiques, barrières personnelles et autres barrières
Quels sont les obstacles à la communication – Barrières sémantiques, barrières psychologiques, barrières organisationnelles, barrières personnelles et barrières mécaniques
La communication devient inefficace en raison de diverses barrières comme :
Barrières sémantiques:
1. Barrières sémantiques,
2. barrières psychologiques,
3. barrières organisationnelles,
ADVERTISSEMENTS:
4. barrières personnelles, et
5. Les barrières mécaniques.
1. barrières sémantiques :
Ceci désigne les barrières de la langue et des symboles et leur interprétation. Toute langue est constituée de symboles utilisés pour transmettre le sens d’une personne à une autre. Même le code morse et les symboles mathématiques sont utilisés dans une langue à des fins de communication. Les barrières proviennent de la capacité linguistique de l’individu impliqué dans la communication.
Voici les différents types de barrières sémantiques :
i. Mauvaise qualité du message:
Lorsqu’un message est préparé, il doit être cohérent à tous égards comme – la clarté, la précision et l’utilisation de mots appropriés pour exprimer » l’idée » à transmettre. Il doit être rédigé dans des mots simples, facilement compréhensibles par le récepteur. Sinon, il devient non spécifique et le récepteur aura une difficulté à le suivre correctement.
ii. Transmission défectueuse :
Lorsque le message est reçu du supérieur au subordonné, l’individu qui le reçoit doit être capable de le traduire aux différentes catégories de subordonnés ayant les contraintes de niveau de compréhension et de leur QI. Il faut effectivement interpréter correctement le message reçu pour faciliter la diffusion de l’information aux subordonnés.
iii. Le manque de clarté :
Avertissements:
Dans tous les messages, il y a certaines idées, qui doivent être comprises correctement. En d’autres termes, le sens entre les lignes du message doit être bien perçu par le récepteur. Si ce n’est pas le cas, il y a toutes les chances que le message soit mal compris, ce qui entraîne une confusion.
iv. Le langage technique :
On constate souvent que le langage technique est utilisé par des personnes spécialisées dans leur communication. Cela peut ne pas être connu par un homme du commun. Dans la mesure du possible, lorsqu’on communique avec des gens du commun, il faut le faire dans un langage simple, commun à tous. Par exemple, prenons le cas d’un médecin qui prescrit un médicament à un patient et écrit « TDS » (abréviation de trois fois par jour). Un patient ordinaire peut ne pas être capable de comprendre cela, à moins que cela ne soit écrit dans une langue simple, ou que l’abréviation lui soit expliquée.
2. les barrières psychologiques :
Dans la communication interpersonnelle, l’état d’esprit psychologique de l’émetteur, ainsi que celui du récepteur fait beaucoup de différence. Lorsqu’un individu est sous le coup de l’émotion, son ton prend le dessus sur l’écriture du message. Cela crée un obstacle à la communication normale conduisant à des barrières émotionnelles.
Avertissements:
Voici les barrières psychologiques:
i. L’évaluation prématurée :
Cette évaluation prématurée est le résultat possible du message avant qu’il ne soit transmis au récepteur. Une telle évaluation peut conclure prématurément que le message peut ne pas apporter le résultat souhaité, ainsi il retient le message. C’est un facteur psychologique important de la barrière de communication.
ii. Une attention inadéquate :
ADVERTISSEMENTS:
Normalement, dans une communication, cela se produit du côté du récepteur en raison d’une négligence et d’une mauvaise écoute de ce que dit la personne à l’autre bout. Cela se produit dans la communication de fait à face ou dans les téléphones d’assistance.
iii. Pertes de transmission et mauvaise rétention :
Lorsque la communication passe par plusieurs mains et niveaux dans une organisation, la transmission du message par diverses personnes a tendance à devenir inexacte ou corrompue. Cela se produit aussi bien dans la communication écrite que dans la communication vocale. Dans cette dernière, le récepteur peut ne pas retenir le message tel qu’il lui a été transmis en raison d’une mauvaise capacité de rétention, ce qui entraîne une confusion à un stade ultérieur.
iv. Stress excessif sur le message écrit :
Dans une organisation, chaque cadre pense qu’un message, des instructions et des ordres écrits seraient meilleurs, car les chances d’une éventuelle erreur de transmission du message sont presque nulles. Lorsque la communication en face à face d’un message a lieu entre un supérieur et un subordonné, non seulement elle permet une meilleure compréhension mais elle est aussi efficace. Elle inspire confiance au subordonné en ce qui concerne l’exécution des ordres et des instructions. Sans aucun doute, c’est un meilleur moyen de communication que l’écrit.
v. Le manque de confiance du destinataire envers l’expéditeur :
ADVERTISSEMENTS:
Lorsqu’un communicateur (expéditeur) modifie fréquemment la communication originale, le récepteur à l’autre bout retardera normalement l’action justifiée par le message. Cela se produit en raison des décisions incertaines souvent prises par l’expéditeur. Ainsi, la communication devient inefficace, pour diverses modifications et ajouts. C’est un exemple de manque de confiance de la part de l’expéditeur.
vi. Défaut de communication :
Parfois, le supérieur ou le gestionnaire ne communique pas les informations/ordres souhaités, etc. Cela peut être la cause de l’attitude désinvolte de l’expéditeur ou de son apathie. Par exemple, l’excès de confiance de l’expéditeur qui pense que le message a déjà été transmis aux personnes est susceptible de créer de la confusion et de l’embarras.
3. les barrières organisationnelles :
Cela dépend de la politique organisationnelle générale qui régit le réseau de communication de l’organisation. Cette politique pourrait être un texte écrit expliquant les différents aspects de la communication, en particulier la communication ascendante, descendante et latérale puisqu’il est souhaitable d’apporter un flux de communication efficace dans l’organisation.
La barrière sur cet aspect est discutée ci-dessous :
i. Restrictions imposées par les règles de l’organisation :
ADVERTISSEMENTS:
Normalement, l’information doit être transmise aux échelons supérieurs par le canal approprié. Celle-ci est retardée lors du passage dans l’échelle hiérarchique. Des instructions générales pour la transmission des messages doivent être données. De même, des instructions spécifiques pour le traitement des messages importants doivent être expliquées à tous afin d’éviter les retards.
ii. Le statut/les positions hiérarchiques restreignent le flux de communication :
Le statut et/ou la position d’un individu font une grande différence dans les relations personnelles. La capacité supérieure/subordonnée dans une organisation formelle empêche également la libre circulation de la communication. Cela se produit surtout dans le cas de la communication ascendante. Une personne appartenant à l’échelon inférieur de la hiérarchie peut trouver difficile d’approcher directement le cadre supérieur de l’organisation.
iii. Situation complexe de l’organisation :
Les grandes organisations, où il existe un certain nombre de niveaux dans les postes de direction pour la communication peuvent être faussées. Cela a lieu en raison de la censure du message lorsqu’il est transmis dans le sens ascendant ; car les gens hésitent généralement à informer les supérieurs des aspects négatifs.
4. les barrières personnelles :
Ces barrières sont celles, qui se produisent dans la communication, en fonction des contraintes personnelles à différents niveaux de l’organisation telles que :
ADVERTISSEMENTS :
i. Attitude des supérieurs hiérarchiques :
L’attitude des supérieurs joue comme un rôle vital dans le processus de communication ; que ce soit vers le haut ou vers le bas ou dans toute autre direction. Par conséquent, l’attitude du supérieur, qu’elle soit favorable ou défavorable affecte le flux de communication, c’est-à-dire du supérieur au subordonné et vice versa.
ii. L’insistance à suivre le canal approprié :
Les supérieurs ordonnent à leurs subordonnés de suivre le canal approprié, tout en communiquant. Ils ne veulent pas qu’un subordonné les contourne et s’adresse directement à l’autorité supérieure suivante. Ils veulent toujours être en contact avec le processus de communication, afin de les aider à savoir ce qui se passe dans leur juridiction.
Lors d’une situation d’urgence, il peut être nécessaire de contourner le supérieur ; cependant, le supérieur peut ne pas aimer cela. Il peut l’empêcher et instruire les subordonnés de le tenir au courant de toute information / message transmis à un supérieur, au fur et à mesure que l’occasion se présente.
iii. Le manque de confiance dans le subordonné :
ADVERTISSEMENTS:
Il existe une perception générale selon laquelle les subordonnés ne sont pas assez compétents pour conseiller les supérieurs, car ils ne possèdent pas la capacité de le faire. Cette appréhension fait que le supérieur n’a pas confiance en ses subordonnés. Cependant, cette idée peut ne pas être correcte, car il existe des subordonnés plus capables que leurs supérieurs à bien des égards.
iv. Préoccupation du supérieur :
Un supérieur estime qu’il n’est pas nécessaire de lui communiquer chaque sujet, car il est toujours préoccupé par son propre travail. L’implication du superviseur auprès de son subordonné est une condition majeure de l’efficacité, que de nombreux supérieurs ignorent en prenant le manque de temps comme excuse.
v. Le manque de sensibilisation :
En raison d’une connaissance insuffisante de l’importance de la communication et de son utilité à divers égards, il arrive que les supérieurs n’y accordent pas l’attention souhaitée. Cela peut conduire à une transmission restreinte ou médiocre de la communication affectant l’organisation. Cela peut conduire à l’inefficacité et à la mauvaise gestion.
vi. L’hésitation à communiquer :
Cela se produit pour être une cause avec des subordonnés de ne pas communiquer avec leurs supérieurs. Les subordonnés montrent une réticence à transmettre au supérieur certaines informations ; car cette partie de l’information peut avoir un effet négatif sur eux. Ainsi, l’hésitation à communiquer a lieu.
5. Barrières mécaniques :
Les barrières mécaniques sont un autre groupe de facteurs mettant des obstacles dans le bon déroulement de la communication.
Ils sont :
i. Des dispositions inadéquates pour la transmission du message
ii. Mauvais aménagement des bureaux
iii. Procédure et pratiques de détective
iv. Utilisation d’un mauvais support.
i. Dispositions inadéquates pour la transmission du message :
Les dispositions comprennent des installations de codage et de décodage appropriées. Cela se fait normalement au moyen de machines de codage et d’un personnel formé pour faire fonctionner ces machines. Lorsque des informations importantes sont envoyées sous différentes classifications, top secret, secret, confidentiel, etc, un soin adéquat doit être apporté à leur transmission. Elles ne doivent pas être divulguées à des personnes non autorisées. La sûreté et la sécurité des informations classifiées doivent être gérées par un personnel responsable.
ii. Un mauvais aménagement des bureaux :
Un centre d’information adéquat est une nécessité inéluctable pour transmettre les messages avec dans l’organisation et à l’extérieur. Par conséquent, divers types de transmission de l’information à travers comme les postes sans fil, le système de communication radio, les machines électroniques- FAX, e-mail, etc, sont nécessaires. Les infrastructures permettant d’accueillir ces systèmes sont essentielles pour une communication efficace. En leur absence, il peut y avoir divers obstacles dans la transmission de l’information.
iii. Procédures et pratiques défectueuses :
Il doit y avoir des procédures définies pour la mise au rôle des messages entrants et sortants correctement maintenus dans un centre d’information. De même, des dispositions appropriées pour attribuer des messages prioritaires comme immédiat, le plus immédiat, etc. et leurs transmissions ultérieures, si tout cela n’est pas examiné, l’objectif même de communiquer sera défait.
iv. Utilisation d’un mauvais support :
C’est un autre obstacle à la communication mécanique. Il est de la responsabilité de l’expéditeur du message de choisir le bon support. Par exemple, prenons l’envoi de lettres d’une organisation à une autre dans un lieu éloigné.
La question de savoir si la lettre doit être envoyée par un courrier ordinaire de Speed post, un coursier, un FAX ou un e-mail, dépend de l’exigence (urgence) de l’action à entreprendre à l’extrémité de réception. Cet aspect doit être décidé par l’expéditeur lui-même à tout moment. Ainsi, l’expéditeur doit choisir un moyen de communication approprié.
Quels sont les obstacles à la communication – 4 obstacles majeurs : Les barrières sémantiques, les barrières psychologiques, les barrières organisationnelles et les barrières personnelles
On peut les regrouper globalement comme suit :
i. Barrières sémantiques,
ii. Barrières psychologiques,
iii. Barrières organisationnelles et
iv. Barrières personnelles.
i. Barrières sémantiques :
La sémantique est l’étude du bon choix des mots. Le réseau sémantique de l’émetteur peut être différent de celui du récepteur et, par conséquent, le message peut ne pas être compris comme prévu.
Le mot » bénéfices » a différentes significations – bénéfices avant impôts ou bénéfices après impôts, montant fixe de bénéfices ou taux de rendement.
(a) Symboles ayant des significations différentes – Un mot peut avoir une signification différente dans différents contextes. Une perception erronée entraîne des problèmes de communication.
(b) Message mal exprimé – Il peut se produire en raison de l’omission de mots nécessaires, d’un vocabulaire inadéquat, de l’utilisation de mots erronés, etc.
(c) Hypothèses non clarifiées – Certaines hypothèses de la communication sont sujettes à différentes interprétations.
(d) Jargon technique – Il arrive que les gens ne comprennent pas la signification réelle du jargon technique ou du langage utilisé par les spécialistes.
(e) Traductions défectueuses – Parfois, des erreurs peuvent se glisser si un traducteur qui ne maîtrise pas l’anglais et l’hindi est impliqué dans la traduction de la communication.
(f) Décodage du langage corporel et des gestes – La communication peut être mal perçue s’il n’y a pas de correspondance entre ce qui est dit et ce qui est exprimé par les mouvements du corps.
ii. Barrières psychologiques/émotionnelles :
La communication sera perturbée si l’état d’esprit de l’émetteur et du récepteur de la communication n’est pas dans une position idéale.
(a) Évaluation prématurée – Si une personne a des idées préconçues contre la communication, alors elle évaluera le sens du message avant que l’expéditeur ne termine son message.
(b) Perte par transmission et mauvaise rétention – La transmission successive du message entraîne des informations inexactes. Généralement, les gens ne peuvent pas retenir l’information pendant longtemps s’ils sont inattentifs ou non intéressés.
(c) Manque d’attention – La non-écoute du message en raison de l’esprit préoccupé du récepteur agit comme une barrière psychologique majeure.
iii. Barrières organisationnelles :
Ce sont :
(a) Politique organisationnelle – L’efficacité de la communication peut être entravée si la politique organisationnelle n’est pas favorable à la libre circulation des communications.
(b) Le statut – Un manager soucieux du statut peut ne pas permettre à ses subordonnés d’exprimer librement leurs sentiments.
(c) Règles et règlements – Des règles rigides et des procédures lourdes peuvent constituer un obstacle à la communication.
(d) Complexité de la structure de l’organisation – La communication est retardée et faussée s’il existe un certain nombre de niveaux de gestion dans une organisation.
(e) Installations organisationnelles – Les communications peuvent être entravées si des installations permettant des communications fluides, claires et opportunes ne sont pas fournies.
iv. Obstacles personnels :
Ils sont :
(a) La peur de contester l’autorité – Un supérieur peut retenir ou supprimer la communication s’il pense qu’une communication particulière peut nuire à son autorité.
(b) Manque de confiance du supérieur sur ses subordonnés – Les supérieurs peuvent ne pas demander les conseils ou les avis de leurs subordonnés s’ils n’ont pas confiance sur la compétence de ces derniers.
(c) Manque de volonté de communiquer – Si les subordonnés perçoivent que cela peut nuire à leurs intérêts, alors ils peuvent ne pas être prêts à communiquer avec leurs supérieurs.
(d) Absence d’incitations appropriées – Les subordonnés peuvent ne pas prendre l’initiative de communiquer s’il n’y a pas de motivation ou d’incitation à la communication.
Les mesures qui peuvent être utilisées pour surmonter les obstacles à la communication sont :
(a) Clarifier les idées avant de communiquer – Avant de communiquer aux employés, un manager doit faire une analyse du sujet/problème. L’objectif de la communication doit être très clair.
(b) Consulter les autres avant de communiquer – Un manager, tout en établissant un plan de communication, doit encourager la participation de ses subordonnés, ce qui lui assurera leur soutien et leur coopération.
(c) Communiquer en fonction des besoins du récepteur – Tout d’abord, le niveau de compréhension des employés doit être pris en compte, puis des ajustements doivent être faits dans la communication par le manager.
(d) Être conscient des langues, du ton et du contenu du message – La langue, le ton et le contenu du message doivent être ajustés en fonction de la situation de manière à être facilement compris par le récepteur et à le stimuler.
(e) Transmettre des choses utiles et de valeur pour les auditeurs – Pour obtenir une bonne réponse des subordonnés, il faut s’assurer que le message se rapporte à leurs intérêts.
(f) Assurer un retour d’information – Pour que la communication soit réussie, la réponse des auditeurs doit être encouragée par le manager.
(g) Communiquer pour le présent comme pour l’avenir – Pour que la communication soit réussie, les managers doivent intégrer les engagements existants ainsi que les objectifs futurs de l’organisation.
(h) Suivre la communication – Il est parfois difficile d’appliquer les instructions dans leur totalité par les subordonnés. Pour surmonter cela, un suivi régulier devrait être effectué par les managers.
(i) Être à l’écoute – Beaucoup de problèmes peuvent être résolus grâce à la qualité d’écoute attentive du manager.
Quels sont les obstacles à la communication – 3 obstacles importants : Barrières physiques, Barrières psychologiques et Barrières sémantiques
Les managers citent fréquemment que la rupture de communication est l’un de leurs problèmes les plus importants. Cependant, les problèmes de communication sont souvent des symptômes de problèmes plus profondément enracinés. Par exemple, une mauvaise planification peut être à l’origine d’une incertitude quant à l’orientation de l’entreprise.
De même, une structure organisationnelle mal conçue peut ne pas communiquer clairement les relations organisationnelles. Des normes de performance vagues peuvent laisser les managers dans l’incertitude quant à ce que l’on attend d’eux. Ainsi, le manager perspicace cherchera les causes des problèmes de communication au lieu de se contenter de traiter les symptômes. Les barrières peuvent exister chez l’émetteur, dans la transmission du message, chez le récepteur ou dans le feedback.
Des obstacles spécifiques à la communication sont abordés ici :
1. Limitation de la capacité du récepteur
2. Distraction
3. Intrusion d’un mécanisme inconscient ou partiellement conscient
4. Présentation confuse et
5. Absence de moyens de communication.
Trois grandes catégories d’obstacles à la communication :
1. Barrières physiques
2. Barrières psychologiques :
3. Barrières sémantiques.
1. Barrières physiques :
i. La distance – Lorsque deux personnes sont à une certaine distance l’une de l’autre, l’une ne peut pas entendre clairement la voix de l’autre. La personne pauvre à Chennai et la personne pauvre à New-york ne se contacteront pas par téléphone avec la peur de la facture de téléphone.
ii. Le manque de temps – Si le supérieur est très occupé, alors il n’aura pas le temps de rencontrer ses subordonnés par manque de temps.
iii. Le bruit – Trop de bruit fera que les hommes ne seront pas en mesure d’entendre les nouvelles.
iv. Perturbations externes – Une température élevée et une forte humidité rendent les hommes mal à l’aise et donc ils peuvent ne pas être de bonne humeur pour obtenir des informations.
v. Blocs organisationnels – Deux personnes dans des organisations différentes ne peuvent pas se contacter quand elles le souhaitent.
2. Barrières psychologiques :
i. Elle découle des différences de position dans la hiérarchie organisationnelle.
ii. Dans la communication ascendante, le subordonné peut hésiter à annoncer à son supérieur des nouvelles défavorables, car il craint que cela n’affecte sa relation avec son supérieur.
iii. Préjugés et partialité- Un travailleur ne peut pas convaincre le superviseur partial.
iv. Évaluation prématurée
v. Différence existant entre les vitesses d’esprit et la vitesse d’élocution
vi. Absence d’esprit
vii. Les blocages d’état
viii. Les blocages intentionnels, et
ix. La peur.
3. les blocages sémantiques :
Les mots et les symboles ont rarement un sens unique. Les mots peuvent être interprétés de manière pratique par l’auditeur ou le lecteur. Les symboles ont généralement une variété de significations. Il faut choisir une signification parmi toutes celles qui existent. Les expressions fautives et l’écoute défectueuse sont également considérées comme des barrières sémantiques.
Nous pouvons voir l’exemple suivant pour comprendre les barrières sémantiques. Rama et Seetha ont vu les animaux de compagnie lorsqu’ils jouaient dans le parc. Dans cette phrase, il y a une confusion. Qui a joué dans le parc ? Si Rama et Seetha jouaient ou si les animaux jouaient ? Ce type de confusion sera la barrière pour la communication. Il faut éviter ce type de barrières (confusion dans l’utilisation des mots).
Quels sont les obstacles à la communication – Les 10 principaux obstacles : Barrières organisationnelles, barrières de statut, barrières de perception, spécialisation, pression du temps et quelques autres
Il existe de nombreuses barrières de communication qui ont tendance à déformer les messages qui passent entre l’émetteur et le récepteur. Cela entraîne des malentendus et des conflits entre les membres de l’organisation.
Voici les principaux obstacles à la communication :
(i) Barrières organisationnelles :
La hiérarchie de l’organisation a une influence importante sur la capacité des membres de l’organisation à communiquer efficacement et facilement. L’information reçue du sommet peut ne pas atteindre la base sous la même forme.
Il arrive que les responsables détournent les informations destinées à une personne ou à un groupe vers un autre et qu’ils colorent également l’information. S’il n’y a pas de moyen prescrit efficace pour communiquer avec les uns et les autres, alors il y a une chance d’avoir des obstacles à une communication efficace.
(ii) Barrières de statut :
Le statut d’un membre de l’organisation est déterminé par la position qu’il occupe dans l’organisation. Un manager de niveau intermédiaire peut se soucier tellement de son aîné et accorder un minimum d’attention aux pensées de son subordonné. Un sentiment de complexe d’infériorité dans l’esprit du subordonné ne lui permet pas de demander des éclaircissements à son supérieur.
H. Kelly a découvert quelques effets du statut sur la communication comme suit :
(a) Membre de statut faible et de statut élevé – Les membres de statut faible communiquent plus d’informations non pertinentes que les membres de statut élevé.
(b) Les personnes de statut élevé semblent se retenir de communiquer des critiques, des attitudes négatives sur leur propre travail ceux de statut inférieur.
(c) La communication avec les personnes de statut élevé – La tendance à servir de substitut à la locomotion ascendante de la part des personnes de statut inférieur qui ont, peu ou pas de possibilité de locomotion ascendante réelle. L’interaction organisationnelle et la communication sont donc influencées par le statut et les attentes en matière de rôle.
(d) Mauvaise supervision – lorsqu’un superviseur soupçonne ses subordonnés ou agit comme un censeur autoproclamé ou écoute ses subordonnés avec des esprits fermés, la communication est bloquée.
(iii) Barrières perceptuelles :
L’une des sources les plus courantes de barrière de communication est la perception individuelle. Une personne qui reçoit un message peut l’interpréter à la lumière de ses propres antécédents et capacités, car il existe une méfiance mutuelle de malentendu entre l’émetteur et le récepteur du message. En revanche, si la relation est ouverte, tout ce qui est communiqué sera facilement cru.
(iv) Le filtrage de l’information :
Toute tentative de modifier et de colorer l’information pour présenter une impression plus favorable est appelée filtrage. Les subordonnés ne transmettent à leurs supérieurs que les informations qui les projettent sous un jour favorable que le supérieur veut entendre. Cette distorsion de la communication devient plus grave lorsqu’un employé doit recevoir une promotion ou une augmentation de salaire.
(v) La spécialisation :
Elle a tendance à séparer les gens même lorsqu’ils travaillent côte à côte. Les différentes fonctions les intérêts spéciaux et le jargon professionnel peuvent donner l’impression aux gens qu’ils alignent des mondes indifférents. L’intérêt sectoriel et la loyauté départementale empêchent les employés d’envisager les problèmes organisationnels dans une perspective plus large et les empêchent d’écouter le point de vue des autres.
(vi) La pression du temps :
Les managers en particulier ceux de niveau supérieur travaillent sous une grande pression de temps et ils ne peuvent pas se permettre d’interagir et de communiquer fréquemment avec leurs subordonnés. Une telle pression temporelle peut créer un problème de communication entre eux.
(vii) Hypothèse non clarifiée :
Les informations contenues dans le message sont généralement étayées par certaines hypothèses. L’expéditeur peut avoir été clair sur les hypothèses, mais si elles ne sont pas partagées avec le récepteur, il est probable qu’il y ait un cas de communication incomplète, conduisant à des interprétations différentes. D’où la nécessité pour le communicateur, de clarifier les hypothèses qui sous-tendent son message.
(viii) Barrières sémantiques :
La sémantique désigne la relation des signes à leur référence. C’est l’étude du sens dans le langage. Les mots ont généralement une variété de sens et l’émetteur et le récepteur doivent choisir un sens parmi plusieurs. L’Oxford English Dictionary indique une moyenne de plus de 25 significations différentes pour chacun des 500 mots les plus fréquemment utilisés dans la langue anglaise. Lorsque deux personnes attachent des significations différentes à un mot, une rupture de la communication peut se produire. L’utilisation du jargon peut également créer une barrière à la communication.
Les images sont des aides visuelles qui valent mille mots. Une organisation fait un usage intensif d’images comme les plans, les graphiques, les cartes et les films. Un spectateur peut arriver à connaître toute l’histoire quand il voit des thèmes. Parfois, l’image peut créer de la confusion dans l’esprit d’un observateur.
(ix) Barrières mécaniques:
Les barrières mécaniques comprennent – (a) un arrangement inadéquat pour la transmission des nouvelles, des faits et des chiffres, (b) une mauvaise disposition des bureaux (c) des procédures et des pratiques défectueuses, et (d) l’utilisation de mauvais médias conduisent à une mauvaise communication. Elles entachent toutes le message de plusieurs façons. Il peut en résulter un message.
(x) L’inattention :
Parfois, les personnes ne prêtent pas une attention suffisante au message. Elles n’écoutent pas attentivement les mots prononcés. La communication n’a aucun impact sur ceux qui ne veulent pas écouter. L’inattention survient en raison d’un manque d’intérêt, d’une stimulation excessive et de la pression du temps.
La communication est un trafic à double sens :
L’organisation est efficace lorsque son dispositif de communication est efficace. Il est très important de comprendre la nature et le comportement des personnes, d’une part, et de mettre en œuvre les politiques et les objectifs de l’organisation, d’autre part, afin d’atteindre le but de l’organisation.
La circulation à double sens signifie que le système de communication efficace donne la liberté aux deux parties, la direction et le travailleur, de transmettre à l’autre partie leurs idées, faits, opinions et pensées, etc.
Le processus de communication ne doit pas donner au manager un privilège pour communiquer les ordres et les directives aux travailleurs pour que le travail soit fait comme cela est révélé par la théorie classique du comportement de l’organisation nommée Théorie ‘X’ par McGregor mais les travailleurs doivent aussi avoir le droit d’approcher la direction et de transmettre leurs sentiments comme les plaintes, les griefs, les opinions, les suggestions dans la mesure où ceux-ci sont concernés par l’organisation.
Cette circulation à double sens sera avantageuse pour les deux. Parfois, une partie avait une mauvaise image du communicateur et il peut porter la version du message selon l’image du communicateur dans l’esprit du destinataire. Cette image peut être effacée par une communication adéquate de l’autre partie.
Donc, l’établissement d’une circulation à double sens améliorera le moral des travailleurs d’une part parce qu’ils ont leur mot à dire dans la gestion et cela améliorera le fonctionnement de l’organisation d’autre part. Il est essentiel d’établir une communication bidirectionnelle, c’est-à-dire descendante de la direction vers les travailleurs et ascendante des travailleurs vers la direction. De cette façon, nous pouvons dire que le management est composé d’une communication à double sens de circulation.